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Le Béjart Ballet Lausanne rend hommage au danseur Jorge Donn

Composé de trois chorégraphies, ce programme sera interprété pour la première fois à Lausanne au Théâtre de Beaulieu les 22, 23, 28, 29 et 30 juin.

Danseur unanimement reconnu disparu il y a vingt ans, Jorge Donn a profondément marqué Béjart, mais aussi l'univers de la danse. L'hommage à cet interprète surdoué sera sensible et lumineux, à l'image de sa carrière, indique le BBL dans un communiqué.

Le «programme Mahler», a été imaginé par Maurice Béjart au début des années 80. Le ballet, «Ce que la mort me dit», met en scène Mahler lui-même. Il se base sur des extraits de deux grandes sources d'inspiration du compositeur: les «Rückert Lieder» et «Des Knaben Wunderhorn».

Créée par les Ballets du XXe Siècle, cette chorégraphie n'a jamais été interprétée par le BBL. Sa reprise est un exemple du travail effectué par le directeur du BBL, Gil Roman, afin de préserver le patrimoine «béjartien», souligne le communiqué.

Pas de deux créé en 1971 pour Rudolf Noureev et Paolo Bortoluzzi sur les «Lieder eines fahrenden Gesellen», «le Chant du compagnon errant» évoque le thème du jeune héros désillusionné à la recherche de sa destinée, cher aux poètes romantiques allemands. En «guest» pour cette chorégraphie, le BBL accueille Friedemann Vogel, danseur principal du Ballet du Stuttgart.

Enfin, dans «Ce que l'amour me dit», un ballet sur les trois derniers mouvements de la symphonie No 3 de Mahler, Maurice Béjart retrouve l'un de ses auteurs de chevet: Nietzsche. Il y célèbre les anges et y règle un chant d'amour.

ATS